
La tarte à la vanille. Oui, c’est elle, oui. Ouiiiiii ! Pardon, on dit la Fée tarte vanille.
Il était une fois deux fées, Déborah Lévy et Sarah Harb, pas du tout chefs et encore moins pâtissières, mais trop, trop, trop gourmandes. Et un prince charmant, car il y en a toujours un dans les histoires de fées, Eddie Benghanem. Et le prince, lui, il assure grave aux fourneaux côté sucré : il sévit au Trianon Palace de Versailles, par exemple. Bref : Déborah, Sarah et Eddie décidèrent d’ouvrir une pâtisserie rue Rambuteau à Paris, à deux pas du Centre Beaubourg. Ils proposèrent des petits babas au rhum, des petits Paris-Brest, des petites religieuses au café et au chocolat, des tas de petites choses succulentes en somme, et ils eurent, espérons-le pour eux, beaucoup de clients pour venir goûter leur très très géniale tarte à la vanille (aux 3 vanilles s’il vous plaît) et leurs autres pâtisseries haute couture en mini portions.
Goûté et très largement approuvé. Attention, comme toutes les bonnes choses, ce n’est pas donné : 3,80 € la pâtisserie. Mais franchement, vous ne le regretterez pas (surtout la tarte à la vanille, mais ça, vous aviez déjà compris que j’avais un très gros faible).
Les fées pâtissières, 21 rue Rambuteau, 75004 Paris.

La fée Nutella.

La fraise tagada revisitée (très très moelleuse). Derrière, Eddie, le prince charmant donc.

En deux trois bouchées, c’est réglé !

Ha oui, il y a des caramels aussi. Terriblement, mais terriblement fondants.

La fée fraisier.

La fée Tagada.

Oh la la la la la la… les nonnettes… mais alors… pfffiou !
J’y suis passée et j’ai gouté : le paris brest, le nutella et la fraise tagada !
c’est étonnamment léger et savoureux, c’est original, moderne, inatendu.
Enfin une pâtisserie qui change, qui nous emporte au délà du plaisir gustative !
J’en redemande !
Merci a ces deux ravissantes fées qui nous font vivre un vrai bonheur en rentrant dans ces boutiques !!! C est bon beau et un super gâteau essayez tout mais surtout le fraisier !!!!